Date : 22 octobre 2016 Par : Rafael Omar Perez
Chers amis,
En su conferencia : “ L’illumination : une immédiateté silencieuse ”, George- Henri Melenotte, se pregunta :
Allouch avance le terme de cohabitation entre les deux analytiques du sexe. Comment cohabitent ces deux analytiques d’autant que l’on serait poussé à croire que la seconde analytique est en tout point incompatible avec la première ?
Me pregunté que entiende Lacan por “cohabitación”, y encontré este párrafo en Encore, con el que comenzar a interrogar la utilización de este término. Esto seriá algo así como “una aproximación porosa”*:
Jacques Lacan, Encore, XI / le rat dans le labyrinthe / 26 Juin 1973 :
Mais à partir de là, et parce qu’il y a l’inconscient, à savoir lalangue en tant que c’est de cohabitation avec elle que se définit un être appelé « l’être parlant », que le signifiant peut être appelé à faire signe, et entendez ce signe comme vous l’enten… comme il vous plaira : soit le mot « signe », soit le « thing » de l’anglais : «t.h.i.n.g », à savoir la chose.”
En esta misma sesión, Lacan, además de decir que el inconciente y lalangue cohabitan, y que el significante deviene signo, dice también que el amor y el saber cohabitan.
¿Qué define la cohabitación entre las dos analíticas del sexo?: Según Allouch la emergencia de un verdadero agujero.
En su tesis de 1933, Jacques Lacan habla de la “cohabitación entre las hermanas Papin”. Y dice algo interesante: “La extrañeza de su cohabitación, su aproximación porosa”1. Una extrañeza, una “aproximación porosa”, me parece que indica algo de cómo leer la vecindad de esta dos analíticas.
1 Jacques Lacan, « 1933-12-12 – Motifs du crime paranoïaque – Le crime des sœurs Papin : « Homosexualité, perversion sado-masochiste, telles sont les troubles instinctifs dont seuls les psychanalystes avaient su dans ces cas déceler l’existence et dont nous avons tenté de montrer dans notre travail la signification génétique. Il faut avouer que les sœurs paraissent apporter à ces corrélations une confirmation qu’on pourrait dire grossière : le sadisme est évident dans les manœuvres exécutées sur les victimes, et quelle signification ne prennent pas, à la lumière de ces données, l’affection exclusive des deux sœurs, le mystère de leur vie, les étrangetés de leur cohabitation, leur rapprochement peureux dans un même lit après le crime ? »
Un abrazo, hasta pronto. Rafael Perez
école lacanienne de psychanalyse