L’école lacanienne de psychanalyse et la galerie Guttklein Fine Art
vous invitent
à une
Rencontre avec François Rouan
Parler de Lacan est devenu coutumier à François Rouan. Peut-être trop. Aussi notre invitation se rapporte-t-elle plutôt à ce qui dans son art a intéressé Lacan. De cette longue après-midi à Rome où celui-ci le suivit dans son atelier jusqu’au manuscrit qu’il lui adressa en 1978, et qui se trouve être le tout dernier texte de Lacan, pour figurer dans le catalogue de son exposition au Musée Cantini. Rouan vient de publier « Il m’a pris par la main… » dans la revue Ligeia. Il y témoigne de l’émotion qui fut la sienne en rencontrant une dernière fois le maître épuisé. Mais il y rapporte d’abord l’éblouissement qu’a été la rencontre avec les Écrits de Lacan et l’écho de cette prose avec sa pratique du tressage. Il y dit comment les volutes de cette écriture et les boucles de ces noeuds l’ont ouvert au vent du large.